Ses pieds ne touchent pas le sol desséché. Ses bras n'effleurent pas les tiges de maïs jaunies. Sa robe n'est pas soulevée par le vent. Elle avance ou vole ou flotte au coeur du labyrinthe. C'est ce qu'elle s'imagine, perçoit, ressent. Elle n'est plus que peur absolue fonçant vers l'inconnue, vers une inconnue. À l'horizon, le soleil fond. N'est presque plus. Se meurt.