Son cœur ne battrait dorénavant que pour lui, pas pour quelqu’un d’autre, réduit à sa simple fonction vitale de pomper le sang dans son organisme. Un organe, une machine, alors qu’il aurait dû être bien plus que cela : l’expression du plus intense et du plus beau des sentiments. Et si son cœur était réduit à l’état de machine, qu’était-il lui-même sinon une machine ? Un robot qui traversait la vie sans sentiments.