C'était le jour de tia Roberta.
Elle se trouvait dans la cuisine, en train e préparer l'iguane que j'avais piégé avec Jorge le chasseur le matin même. Elle avait sa tête des lundis. Mieux valait ne pas traîner dans ses jambes. je sortis de la maison et m'assis sur la marche de pierre pour affûter mon coupe-coupe.
Sur la route, un chien errant traînant la patte. Ses grands yeux noirs et tristes captaient la lumière du jour.