La parole de l'avocat ne cesse en effet d'évoluer et de s'adapter.
Elle obéit en même temps à un principe fondamental :
veiller à ce qu'une voix se fasse toujours entendre,
du côté de l'accusation comme du côté de la défense,
au risque de déplaire ou de choquer.
Cette liberté d'expression dans les prétoires,
chèrement acquise,
doit être constamment exercée.