Aux écrivains du monde
(..)La situation de la presse et de l'édition en Russie ne les intéressait donc pas ? Ou alors ils regardaient, et ne voyaient pas,ils voyaient,et ne comprenaient pas ? Il nous est douloureux de penser que le tintement des coupes de Champagne offertes aux écrivains étrangers par notre gouvernement a couvert le cliquetis des chaînes qui pèsent sur notre littérature et sur le peuple russe tout entier ! (p.184)