Les premiers peintres chinois étaient aussi des écrivains. Il n’y avait pas d’autres peintres que les poètes qui peignaient et écrivaient avec le même pinceau et commentaient l’un par l’autre le poème et l’image interminablement. Les signes idéographiques (…) les entraînèrent peu à peu à manier le pinceau trempé d’encre de Chine avec une prodigieuse aisance.