Crab, quand il fend la foule, c’est comme un fleuve traversant un lac, il se mélange pour de bon aux hommes et aux femmes qui la composent : à celui-ci il va laisser son propre bras, ou quelques-uns de ses doigts à celle-là qui du coup en aura la main pleine et certainement plus qu’il n’en faut ; telle autre en revanche lui cédera une jambe, parfois une jolie jambe, nue, galbée
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