Le roman étouffe toute velléité de révolte. On y vérifie à quel point notre imagination est vaine et comme notre pensée toujours bute contre l’os du crâne. Le romancier décrit avec enthousiasme le piège dans lequel nous nous débattons tous. L’écrivain n’a-t-il pas un meilleur usage à faire de son pouvoir ? Le crabe est-il armé de pinces pour tricoter la nasse ?