Et nous tournons les pages de nos jours sans en apprécier la saveur unique. Ces petits trésors nous échappent avant que nous ayons eu le temps de dire ouf. À peine avons-nous survolé ces pages que nous voulons connaître la suite. Insatiables, nous passons au chapitre suivant, titré "hiver" ou bien "été", "printemps", "automne", et voici déjà la partie suivante : "l'année nouvelle". Pages, chapitres avalés au rythme de valses ou de mazurkas, ou bien d'un prélude annonciateur de rebondissements... Ces mélodies nous divertissent comme l'orchestre du Titanic a distrait les passagers jusqu'au bout. Il faut bien se changer les idées en attendant la marche funèbre.