Les chemins du Razès incitent à la méditation. Caillouteux, étroits, parsemés d'herbe rase et jaune, ils serpentent à flan de colline, longent des lits de rivières desséchés, quand ils ne se perdent pas au détour d'une broussaille. Une métaphore de l'existence humaine, en somme, qui ne pouvait que faire réfléchir le prêtre.