Le SS qu'il avait sous les yeux le désarçonnait. Il était aimable, presque enjoué. Il ne dégageait rien de menaçant. N'eût été son sinistre uniforme, il aurait pu être un Allemand sympathique et chaleureux. Tristan conclut que, dans le panier de serpents de l'ordre noir, il devait faire partie des plus venimeux.