On voit mal d'autre part comment une assemblée d'élus pourrait traiter en connaissance de cause de domaines aussi divers que le photovoltaïque, le transport fluvial, ou l'élimination des pesticides. C'est le cas aujourd'hui, dira-t-on, mais justement : depuis des dizaines d'années (depuis toujours en fait) les assemblées nationales ne résolvent rien - parce que les parlementaires ne connaissent pas les sujets, parce qu'ils sont soumis à des intérêts et des pressions contradictoires, parce que le fonctionnement même d'un parlement interdit tout débat sérieux. (page 74)