Le cinéma est cette vieille putain à la peau flétrie. Elle a trop de protecteurs. Elle ne sait plus où donner de la tête. Cette tranquillité l'étouffe. Elle n'a plus besoin de prendre de clients. Madame touche une rente à vie. Pourquoi se démener, exercer des talents qui risqueraient de lui coûter sa place? (…)
Elle crève sous les aides, se noie dans les subventions. Nous ne pouvons que regretter ces liftings inutiles.