M. Corot a eu le tort, au lieu de suivre le petit système courant, la petite école en vogue, de consulter directement la nature, de l'aimer d'une tendresse immense, de lui accorder une obéissance sans bornes. Il allait obscurément s'impressionner devant elle et, l'impression reçue, il ne s'occupait plus qu'à la rendre et l'approfondir ; mais, sans vouloir la réformer, il cherchait uniquement la vérité. Félicitons-le de n'être pas allé au-devant du succès, de l'avoir attendu....