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4.38/5 (sur 4 notes)

Nationalité : France
Né(e) à : Cessey-sur-Tille (Côte d'Or) , le 17/11/1939
Biographie :

Son ouvrage "Crépuscule des gagne-petit" donne ponctuellement des informations biographiques sur elle-même.

Institutrice de profession de 1960 à 1995, Marie-Thérèse Mutin se consacre maintenant à l'écriture et à sa propre maison d'édition, où elle publie des textes qui lui ressemblent : atypiques et anticonformistes. J'ai plié le genou sans jamais courber l'âme est son second roman publié aux éditions de l'Armançon, après Et la source est tarie où buvaient les troupeaux.

Elle est fondatrice des éditions Mutines en 1999.

Dans son premier livre "Vive la Politique" en 1989, elle ne cesse de tirer la sonnette d'alarme sur les dérives des partis traditionnels en général, et du PS en particulier. Très engagée en politique, proche des idées de Jean Poperen, Marie-Thérèse Mutin a été élue conseillère municipale et première adjointe au maire en mars 71 à Cessey-sur-Tille. Elle devient maire de son village natal en octobre 1974 à la suite du décès du maire. Elle sera réélue jusqu'en juin 1995 date à laquelle elle décide de ne plus briguer ce mandat. conseillère régionale PS de 1986 à 1992 puis sur sa propre liste dissidente de 1998 à 2004, Marie-Thérèse MUTIN sera députée européenne de septembre 1997 à juillet 1999.
Au sein du Parti Socialiste, elle devient la première femme première secrétaire d'une fédération (la Côte d'Or) en 1977. Entrée au Comité directeur national du PS en 1979, réélue jusqu'à son exclusion en 1998. Membre du Bureau national du PS de 1993 à 1998. En 2012 elle soutient Jean-Luc Mélenchon aux présidentielles, quoiqu'elle ne soit plus membre d'aucun parti politique.

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Bibliographie de Marie-Thérèse Mutin   (4)Voir plus

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Citations et extraits (4) Ajouter une citation
- Petite, dit la vieille femme aux cheveux blancs, si je t’entends, tu aimerais être enfant avant 1881, avant que Jules Ferry ne rende l’école obligatoire ?
– Oh ! oui, madame !
– Eh bien ! Rentre chez toi bien sagement, couche-toi comme à l’ordinaire, dors et demain tu y seras. Je te laisse une semaine dans ce monde d’avant. Au soir du septième jour, je reviendrai près de cette fontaine. Tu me diras alors si tu souhaites rester.
– Oh ! Ce ne sera pas la peine, dit Isabelle.
– Nous verrons bien », sourit la vieille femme.
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: « Le rapport de force ! Celui qui mène le monde depuis toujours, que je retrouverai si prégnant, en politique. »
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« Habiller les morts ! Il est quand même plus agréable de déshabiller les vivants. »
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La vie ne vaut que s'il y a combat pour ce qu'on croit juste.
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