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Ces textes poétiques ramènent dans leur nasse treize cristaux d’âme qui miroitent sous les noms de : « Vacherin Glacé -Théâtre d’ombres-Pieds de nez-L’homme invisible-Les poules aux œufs d’or-Le poisson dans l’arbre-Dernier voyage-Une voix de velours-Le jour du muguet-La porte du miroir-La limonade-La cueillette des champignons-L’émerveillement ».
Treize mots clés pour évoquer à chaque fois un contenu chargé d’émotions portés par une écriture subtile, poétique et fluide tout à la fois. Textes courts évoquant des souvenirs personnels dont la lecture a le don de raviver les souvenirs de notre propre enfance et ainsi de permettre une plongée personnelle dans un univers partagé à notre insu avec la narratrice. Un retour-détour à travers les souvenirs d’une autre. Même si pour nous «Le vacherin» était un millefeuille, «La cueillette aux champignons» celles des myrtilles, «Le poisson dans l’arbre» un simple après-midi de pique-nique en famille au bord de l’eau.
Quant au «Théâtre d’ombres» Pour l’évoquer, le mieux est de citer le texte: «Aujourd’hui encore, je revois cette image lorsque sur la page blanche, l’ombre de ma plume dénoue le silence, écarte les ombres de ma nuit pour mettre au jour des fragments de lumière que je nomme poème»
«Théâtre d’ombres» de l’enfance qui des années plus tard la ramène à Platon et lui fait se poser cette question:«Qu’en est-il de la réalité sinon ce que l’on veut bien qu’elle soit. La vérité n’est pas unique mais multiple et chaque ombre en est l’une des facettes».
Tous ces textes cristaux semés pour retrouver le chemin de l’enfance sans s’enliser dans le regret et la nostalgie mais en éprouvant …. «L’émerveillement est un don que les dieux nous octroient à notre naissance et que parfois, distraits de nous-mêmes et de l’essence même du monde et des choses qui l’animent, nous perdons sans en avoir conscience … Mais que fort heureusement, nous pouvons retrouver au fil de ce temps que nous fait et nous défait.»
A lire avec le même lent délice qu’un chat lape la crème.
Treize mots clés pour évoquer à chaque fois un contenu chargé d’émotions portés par une écriture subtile, poétique et fluide tout à la fois. Textes courts évoquant des souvenirs personnels dont la lecture a le don de raviver les souvenirs de notre propre enfance et ainsi de permettre une plongée personnelle dans un univers partagé à notre insu avec la narratrice. Un retour-détour à travers les souvenirs d’une autre. Même si pour nous «Le vacherin» était un millefeuille, «La cueillette aux champignons» celles des myrtilles, «Le poisson dans l’arbre» un simple après-midi de pique-nique en famille au bord de l’eau.
Quant au «Théâtre d’ombres» Pour l’évoquer, le mieux est de citer le texte: «Aujourd’hui encore, je revois cette image lorsque sur la page blanche, l’ombre de ma plume dénoue le silence, écarte les ombres de ma nuit pour mettre au jour des fragments de lumière que je nomme poème»
«Théâtre d’ombres» de l’enfance qui des années plus tard la ramène à Platon et lui fait se poser cette question:«Qu’en est-il de la réalité sinon ce que l’on veut bien qu’elle soit. La vérité n’est pas unique mais multiple et chaque ombre en est l’une des facettes».
Tous ces textes cristaux semés pour retrouver le chemin de l’enfance sans s’enliser dans le regret et la nostalgie mais en éprouvant …. «L’émerveillement est un don que les dieux nous octroient à notre naissance et que parfois, distraits de nous-mêmes et de l’essence même du monde et des choses qui l’animent, nous perdons sans en avoir conscience … Mais que fort heureusement, nous pouvons retrouver au fil de ce temps que nous fait et nous défait.»
A lire avec le même lent délice qu’un chat lape la crème.