La caricature de la couverture est de Neagu Rădulescu. Pour en savoir plus sur cet auteur et caricaturiste avec des extraits traduits, voir Mihai Neagu Basarab, La dernière bohème bucarestoise (1964-1976).
Il s'agit de bribes signées par le jeune "Ionescu", qu'il s'agisse de courtes proses, de pages déchirées de son propre journal mais surtout des esquisses de sa vraie-fausse admiration pour Victor Hugo (voir Hugoliade). Contient aussi les élégies pour les petites créatures (1931).
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