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    franceflamboyant le 27 octobre 2022
    Coparo : L'originalité vient du choix de faire des vers. Ce choix anime beaucoup le propos en lui donnant une forme à la fois joueuse et sibylline. Par contre la fin : "je me fie à mon Instinct et je laisse faire le Destin" me surprend un peu. C'est dommage de renoncer à "connaître ce que l'on peut connaître." et donc à être une fêlée (une fée ailée : c'est un raccourci? ). Mais bien entendu, c'est un point de vue (de bébé râleur...)
    Coparo le 27 octobre 2022
    camille95120  Merci pour ta lecture et tes remarques, bien que je n'aie pas fait de rimes. franceflamboyant  La fée ailée fêlée, paradoxalement, ne veut pas se servir de ses dons pour elle-même, parce qu'elle sait la vanité de vouloir connaître ce que l'on ne peut connaître... Et elle accepte humblement de ne pas pouvoir aller contre ce qui doit être.
    Senna le 30 octobre 2022
    Bonjour tout le monde

    N'étant pas fan de la narration à la première personne, j'ai un peu délaissé les défis d'écriture, puisque ceux-ci s'orientaient vers ce type de narration. Je ne souhaitais pas trop participer à celui-ci, mais camille95120  semble très active et décrypte chaque nouvelle publiée ici et je la remercie. J'ai donc décidé à la hâte d'écrire quelque chose. Après avoir terminé mon texte, je peux affirmer que je n'aime toujours pas la narration à la première personne.

    Je vous fais part de ma nouvelle dans le message suivant.
    Senna le 30 octobre 2022
    Obscurité totale. Le réveil sonne… je le maudis. Il n’est que 5H15, ce qui est bien trop tôt pour me lever. Moi qui suis un gros dormeur, j’ai l’habitude d’attendre 7h. J’essaie en vain de m’accrocher à ce doux cocon chaud et moelleux et je lutte contre le sommeil. Puis vint le moment de torture où il faut allumer. Mes pupilles brûlent au contact de ces lux. Une goutte perle à chaque coin de mes yeux.
    Je m’extirpe des draps et le froid me cueille. J’enfile un short et un tee-shirt. Oui, je suis de ceux qui aiment se présenter devant Morphée en tenue d’Adam.
    Je m’arrête devant une armoire massive ancestrale où est incrusté un miroir. Le reflet est peu flatteur. Je m’observe et j’imagine comment aurait pu être ce petit gars s’il avait travaillé à l’école. J’aurais aimé être médecin, être un homme respectable, dont les parents soient fiers. Le côté aide m’a toujours attiré. Je pose ma main sur la surface glaciale et ferme un instant les yeux.
    Une étrange sensation m’envahit. Comme aspiré par une vague écumeuse, je me sens attiré vers un autre monde. Je panique, je suffoque. Cette bouffée d’angoisse ne dure que quelques secondes.
    Lorsque j’émerge, je suis loin, très loin de ma chambre. Tout autour de moi, ça grouille de monde. Ce sont tous des hommes, ils ont un pantalon rouge et une veste bleu. Ce sont les fantassins de la Première Guerre Mondiale. Nous ne sommes qu’au début du conflit. L’uniformité marine ne se fera qu’en 1916. D’ici là, beaucoup trop d’êtres humains se verront mutilés où mourir. Un avion passe au-dessus. Ce pilote pourrait-il être Charles Nungesser ? Cela restera un mystère, car déjà, il s’est éloigné.
    Le vent apporte le bruit des armes et des canons. Au loin, des hommes se battent pour leur patrie et perdent leur vie.
    Une main se pose sur mon épaule.
    – Doc ! Nous avons besoins de vos services.
    Je reconnais l’insigne de sergent. Hébété, je le suis.
    Devant nous se dresse une bâtisse en pierre. La porte s’ouvre sur une pièce sombre au sol de terre battue. Quelques lits de fortunes sont alignés. Une jolie demoiselle se tient au chevet d’un malade. Elle s’affaire à changer les bandages.
    À mon arrivée, elle me sourit. Elle est si jolie, mais je n’ai pas le temps de m’arrêter, puisque le sergent me dirige dans une nouvelle salle. Un homme crasseux est immobilisé sur une table à manger.
    Cette nouvelle réalité est étrange. Je suis là, dans une tunique toute blanche qui ne tardera pas à se souiller de sang séché, dans une autre époque, celle que j’ai apprise à l’école. À la vue de ce soldat inconnu, je m’étonne de connaître chaque partie de son corps, ses os, ses tendons, ses veines, ses artères, ses organes.
    Rien qu’à voir ses blessures, je sais qu’il faudra lui amputer une partie de sa jambe droite. Pauvre bougre. Comme tous ceux qui participent à cette foutue guerre, sa vie sera changée à jamais.
    Je gueule que l’on m’apporte deux seaux d’eau bouillante. Dans la première, j’y mets mes outils. Dans la seconde, je me brûle à me laver les mains. Ces actions sont essentielles, ils limitent les infections.
    L’infirmière découpe, à l’aide de ciseau, son pantalon. La plaie n’est pas belle à voir. J’éponge tant que je peux l’hémoglobine. Dans peu de temps, il y en aura encore plus.
    Je dispose sur son visage le masque de d’Ombrédanne, imbibé de chlorure d’éthyle. Puis, je repère le cartilage fémoral au-dessus du fémur. C’est ici, que je place la scie à os et je commence mon travail. L’idée de séparer un membre d’un patient est peu agréable. J’essaie tant bien d’ignorer l’ignominie de ma tâche. Le plus important est qu’il puisse vivre. La peau craquelle au contact du métal et se déchire. Parmi cette viande rougeâtre, j’aperçois la face blanchâtre de mon objectif.
    Après plusieurs minutes à réaliser mon opération et à cautériser la plaie, je peux enfin souffler. Mon vêtement est trempé par la sueur. J’ai encore les doigts qui tremblent.
    Mon assistante est plus courageuse que moi. Elle a su garder son calme.
    Sans mot dire ni même un regard, elle quitte la pièce.
    Je la retrouve dehors assise contre le mur. Elle est encore plus jeune que je ne le pensais. Cette foutue guerre qui lui vole sa juvénilité, une enfant perdue dans un monde qui la dépasse.
    Est-ce cela que je voulais être ? Je ferme les yeux pour mieux penser. Non !
    Un doigt se pose sur mon visage. À travers mes paupières, j’entre-aperçois un flash. Lorsque je les ouvre, un journaliste équipé d’un appareil. Nous sommes immortalisés.
    Non sans mal, je me lève. J’en ai assez de cette vie. Je ne souhaite plus qu’une chose, revenir à mon époque et laisser les horreurs dans le passé.
    La chance me sourie, car je distingue une charrette attelée par un cheval de trait où une armoire pareil à la mienne est scellée à l’aide d’une corde, avec d’autres objets du quotidien. Des gens quittent la région pour essayer de rejoindre un coin tranquille de la France.
    J’ai délaissé depuis trop longtemps le sport. Je suis essoufflé et gêné par mon ventre proéminent.
    Un jeune enfant malicieux se retourne et me tire la langue.
    J’arrive à me hisser à bord et à poser ma main sur le miroir. Elle est dure, froide et impénétrable. Je tape dessus et après quelques secondes je parviens à m’échapper de ce cauchemar.
    Quelque chose de poilu se frotte contre moi. Il ronronne. Mon chat est lui aussi réveillé et demande à sortir. Je suis de nouveau dans ma chambre étourdie par ce long voyage.
    Sur mon bureau quelques livres sont étalés. L’un d’eux à pour thème la Première Guerre Mondiale. Je l’ouvre et c’est avec stupéfaction que je découvre notre photo en noir et blanc. La jeune demoiselle et un médecin qui me ressemble comme deux gouttes d’eau.
    Snoopythecat le 31 octobre 2022
    Coparo  J'aime beaucoup cette idée d'extralucide pleine de bienveillance, qui cherche le bien de chacun et tournée vers les autres.
    J'aime aussi beaucoup la forme du texte, je serais tout à fait incapable de le faire moi-même. 
    Bravooo.
    Snoopythecat le 31 octobre 2022
    Senna  Pour quelqu'un peu désireux d'écrire à la première personne, je trouve que vous vous en sortez plutôt très bien.
    Le récit est très réaliste et imagé.
    Et une petite touche de fantastique pour saupoudrer le tout.
    Bravo.
    franceflamboyant le 31 octobre 2022
    Sennaje vous rejoins pour la première personne. Je suis très loin du récit autobiographique et plus loin encore de l'autofiction. Si on ne s'appelle pas JJ Rousseau, Romain Gary et quelques autres, ça devient vite fastidieux, c'est en tout cas mon point de vue. Pour ma part, écrire quelque chose de strictement personnel sur ces Défis est dépourvu de sens et ça ne m'intéresse pas.

    Je trouve que vous avez bien relevé ce (très long) défi (qui court sur deux mois au lieu d'un...). Donc, pas d'inquiétude à avoir sur ce "Je" qui peut poser problème. Beau texte qui parfois se fige dans des instantanées.
    Coparo le 31 octobre 2022
    Snoopythecat  Merci !
    Coparo le 31 octobre 2022
    franceflamboyant  Un je peut en cacher un autre ! 😉
    camille95120 le 31 octobre 2022
    Senna  Bien que tu sois pas fan de la narration à la première personne, tu en es bien sorti avec ce texte. J'aime bien l'idée de l'armoire qui te fait remonter dans le temps (je ferais attention la prochaine que je fais un vœu devant ma penderie, j'ai pas envie de me retrouver au moyen-âge, ou comme toi en plein tranchée durant la première Guerre Mondiale). C'est original. Tu arrives à ce que ce soit peu redondants et ton univers est développé : la médecine, les pilotes - le nom de du pilote, nous transporte dans cette ambiance guerre et soldats mutilés. Il n'y a pas de temps morts, même lorsque ton personnage souhaite retourner en 2022 - la coïncidence où il tombe sur son armoire est marrante et cohérente pour un texte écrit lors d'un défi d'écriture. J'aime bien le clin d'œil avec la photo dans le livre. Et oui, ce n'est pas un rêve ! Le seul point négatif que je peux donner, c'est que ça manque d'émotion et de dialogues.
    camille95120 le 31 octobre 2022
    Bonjour, aujourd'hui, c'est le dernier jour pour participer au défi de septembre qui a été exceptionnellement prolongé durant tout le mois d'octobre. Merci pour vos textes différents ! J'ai pris un réel plaisir à les lire, malgré les quelques avis trop sincères que j'ai eu pour certains. 

    Le thème de celui de novembre sera posté cette semaine et le gagnant de septembre-octobre aussi. 

    Bien à vous. 

    Joyeux Halloween !!!
    Senna le 31 octobre 2022
    Merci pour vos messages

    franceflamboyant  J'ai déjà lu de très bons textes narrés à la première personne. De mon point de vue personnel, ce procédé est très limité. Il est inadpaté pour le dynamisme et l'action. Que l'auteur impose le narrateur est assez risqué. On n'a pas forcément d'affinité avec le personnage principal. Ça oblige aussi de voir l'histoire par les yeux du narrateur, tandis qu'à la troisième personne, il y a plus de liberté. Je pense même qu'il est plus difficile d'écrire un texte à la troisième personne.

    camille95120  Merci d'avoir animé ce défi et d'avoir apporté ton ressenti pour chaque nouvelle postée.
    En ce qui concerne mon texte :
    Nous avons tous vu des armoires anciennes chez nos grands-parents ou parents. L'idée était donc que ces meubles soient aussi un témoin du passé. J'ai essayé de glisser dans mon récit, sans y avoir réussi, une allusion à la cabine téléphonique du Docteur Who pour mon armoire temporelle. Pour le pilote, je me suis documenté (comme pour la médecine dont je n'ai aucune connaissance) sur les As de la Première Guerre Mondiale. Mon choix premier était René Fonck, mais son action au sein de la politique de Vichy m'a fait changer d'avis. Ensuite, j'ai voulu nommer Georges Guynemer, mais comme l'histoire se passe en 1914 ou 1915, je ne savais pas s'il étais déjà pilote à l'époque. Enfin, pour la photo dans le livre, c'est tout ce que j'ai trouvé comme chute
    Senna le 31 octobre 2022
    franceflamboyant a dit :

    Je trouve que vous avez bien relevé ce (très long) défi (qui court sur deux mois au lieu d'un...). Donc, pas d'inquiétude à avoir sur ce "Je" qui peut poser problème. Beau texte qui parfois se fige dans des instantanées.

    Les trois derniers défis étaient, à mon sens,orienté vers la narration à la première personne.
    Cathye le 31 octobre 2022

    Ah Ah Camille95120 : Bienvenue...mais ce n'est pas fini !! car grâce au délai supplémentaire, ce dont je vous remercie vivement, je viens poster ici ma participation.
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    Je suis une artiste Oh comme ils disent 🎵🎶
     
    Du plus loin que je me souvienne, j’ai toujours adoré les histoires. Celles qu’on me racontait et celles que je lisais. Ma préférence, à moi.  
    Toujours, elles me projètent dans un univers que moi seule connais et forcément différent de celui décrit dans le manuel, l’imagination y ajoutant une autre dimension.
    Et mes copines, un tantinet jalouses, mais surtout curieuses, n’attendaient que l’instant où j’en dévoilerais un peu plus. Allez donc savoir, pour qui pourquoi je ne tenais pas à tout révéler et principalement la fin que je me réservais, j’en inventais une autre.  Un peu floue d’ailleurs, mais qu’importe ! Ravies elles repartaient satisfaites. Cependant, avec un malin plaisir, parfois, j’entretenais le mystère qui me faisait pincer les lèvres sur un secret à ne pas dévoiler…enfin presque pas !
    Il est fascinant le pouvoir de l’innocence qui invite l’impossible.
    Les années passant, ma curiosité sema le déclic dans ma tête.
    Parce que mimer et raconter, à partir, uniquement, de connaissances acquises, résultent autant de la capacité à imaginer que des talents à improviser.
    Alors, profitons.
    Assisse à une table de café et sirotant une boisson, je jubile à détailler l’attitude, les expressions des clients entrant ou sortant, des passants aussi, que je caricature dans mon petit carnet de croquis toujours à portée de main. S’ils se pressent et bousculent les autres, je suppute un rendez-vous à ne surtout pas manquer, un train ou un amoureux, peut-être. S’ils flânent, des touristes sans doute…
    Comme je fréquente beaucoup les gares, il m’est très aisé d’épier les voyageurs qui circulent dans ces espaces où il se passe toujours quelque chose. S’ils sont en retard, ils courent tout en scrutant les panneaux d’affichage, le manteau ou la veste déboutonnée pour plus d’aisance dans leur course.  A l’anxiété qui se lit sur leur visage, j’imagine que l’horaire de leur destination est modifié, ce qui perturbe leur emploi du temps. Et une avalanche de contre temps, bien s’abat sur leurs épaules. Alors, vite, le portable, toujours à portée d’oreilles, celui-là. Ou plus simplement, la voie habituelle du départ de leur train est déplacée.
    En revanche, si temps orageux, c’est bien connu, ils ressemblent à des mouches qui piquent. Ils tournent, ils virent, se posent, repartent. Tandis qu’une douceur du ciel entraîne un flegme. Mais si la pluie s’est invitée, la situation devient carrément cocasse. Car quoi faire du parapluie ? il faut bien le secouer afin qu’aucune goutte ne tombe sur la chaussure du voisin surtout si lui aura eu la chance d’éviter l’averse. Mais si le vêtement est mouillé, où le placer ? En revanche, lorsque le froid les surprend, ils disparaissent complètement sous des couches de lainages, la tête rentrée dans les épaules et le bonnet descendu sur les yeux. Ils se secouent pour se réchauffer, tapent du pied, se frottent les mains malgré les gants qui les recouvre à la façon des ouvriers qui les placent au-dessus d’un braséro. Ils se disent au pôle Nord !
    Mais là ne s’arrêtent pas mes délires imaginatifs. L’environnement, la vie quotidienne, (le marché du samedi, j’adore), les nombreuses lectures, sont autant d’aides précieuses prétextes à divaguer.
    Et c’est bien parce que j’ai vécu, moi aussi, ces situations, 🤪, et bien d’autres évidemment, que je m’en empare volontiers pour les transformer, les adapter à des personnages.
    Mais pour que l’émotion soit au rendez-vous, les mimiques, les intonations ainsi que les silences sont autant d’atouts pour que vive une histoire.
    Le roulement des yeux inquiets, interrogatifs, les sourcils qui se froncent de colère, de réprobation, ou se lèvent d’incompréhension, la bouche qui s’étonne en un O sonore, boude ou se tord en une moue dubitative sont autant d’expressions suggestives pour toucher le sens d’un texte.
    Cependant, la gestuelle reste un langage aussi important et nécessaire que celui du corps.
    Des doigts qui furètent et grattent les cheveux, les bras qui moulinent, des mains qui s’élancent pareilles à de grandes ailes déployées, s’envolent tel le vent qui coure dans les arbres, planent et retombent en douceur comme pour calmer le jeu.
    Au contraire d’un piétinement ou d’un flot de paroles plus rapides pour traduire un sentiment de panique, d’affolement.  
    Car la voix, aussi, se doit d’être autant persuasive que les mots. Intensive ou douce, indignée ou mélodieuse, chuchotée ou murmurée, elle transporte vers d’autres horizons.
    Le choix reste suffisamment vaste pour assurer une belle prestation et ainsi séduire un public.
    « Cependant, il faut du temps pour apprivoiser l’oreille des autres en vue d’un rêve ou d’un voyage…dans l’imaginaire ».
    Malgré tout, chaque jour, devant mes yeux, un soleil radieux et multicolore se déploie. Des pupilles bleues, vertes ou foncées me fixent, me détaillent.
    Aucun livre ni document sur les genoux ou entre les mains, alors, immanquablement, les regards filent et recherchent l’endroit où je peux bien l’avoir caché😉.
    Puis, à l’agitation surgie au moment de l’installation, des pas pressés qui claquent sur le sol, des cris ou les pleurs de mécontents qui n’obtiennent pas la place désirée, le froissement des vêtements, succède, soudain, un silence quasi religieux.
     
    Alors, la Magie peut opérer.
     
    Il était une fois…C’est ainsi que débutent mes journées.
     
    Que le ciel soit bleu ou complètement gris avec des nuages qui se courent après, pluvieux à ne pas mettre le nez dehors, il est des rencontres qui nous amusent ou nous réservent quelques belles surprises. 

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    Vos élucubrations m'ont ravie, bravo à toutes les belles plumes : 

    franceflamboyant : en effet, pourquoi pas après tout. Mais Brrr ce bébé hors normes fait un peu peur. Nouvelle jeunesse éternelle ? En tout cas la fantaisie et l’irrationnel fait du bien. J’en veux encore 😂

    Kryan : « en pleurant un pétale » : joli… court mais intense. Bravo

    Secondo : une évasion très aérienne 

    EveLyneV : une belle épopée féministe. La chute est sympa. J'aime

    Snoopythecat : sûre et certaine,  La Poste va bientôt vous envoyer une enveloppe avec Chopin à l'intérieur 🤗😅
    Et ok avec vous, les dates m’importent peu mais je l’ai déjà écrit (pardon franceflamboyant)

    Chlegranger : bel altruisme dans une écriture fluide. J’aime beaucoup

    laure-bernard : un peu court, trop peut être mais l’idée est bonne. A développer peut-être pour qu'on puisse y boire une tasse de thé

    mfrance : j’adooorrreee ! Mais oui restez telle que vous êtes, vous m’avez enchantée. C’est fluide, léger et dans un langage bien de chez nous. 

    Hekate2018 : Nostalgie quand tu nous tiens

    iletaitunefoislalecture : belle utopie

    Ahah JML38 : ce n’est pas mon groupe préféré… mais que je respecte etj' admire sa longévité…cependant, j’aurais préféré du Jerry Lee Lewis, du Elvis. Roy Orbisson, peut-être ? Je sais, on ne se refait pas 😂

    Coparo : oui, il n’est pas toujours bon de savoir. N’empêche, la clairvoyance doit toujours être de mise. Et j’apprécie beaucoup la forme, fluide…

    Senna : une nouvelle bien menée, tambour battant, si j’ose écrire, sur une page de notre histoire plutôt sanglante


    J’espère n’avoir oublié personne.

    Au plaisir de vous retrouver sur le prochain défi.

    Senna le 01 novembre 2022
    Cathye  Très beau texte. J'ai bien aimé le passage dans la gare, on s'y croirait. Merci d'avoir lu mon histoire

    Je n'ai pas tout lu les textes, mais pour l'instant, celui que je préfère est celui de Chlegranger . Sympa ce voyage dans un temps que je n'ai pas connu à travers les pays
    JML38 le 01 novembre 2022
    Merci Cathye pour votre commentaire.
    Ce n'est pas non plus mon groupe préféré, mais il reste tout de même mythique.
    Je ne suis pas certain que mon texte aurait eu même allure si j'avais pris la place du batteur de Roy Orbisson. 
    Cathye le 01 novembre 2022

    Sennamerci pour votre retour sur mon texte. Les préférences sont toujours fonction de notre moi intérieur. J’ai oublié de préciser que j’ai bien apprécié la chute de votre texte, même si c’est la seule que vous ayez trouvée. Un p’tit coté fantastique bien agréable. 

    JML38 : qu’est-ce que vous lui reprochez à ce batteur 🤗😉 ? Naïvement je m’attendais à une suite de balais et de tentacules 😅😂. Ravie de vous découvrir une autre passion qui me parle bien. 

    mfrance le 01 novembre 2022
    merci Cathye   pour ce sympathique retour
    EveLyneV le 01 novembre 2022
    Bonjour à toutes et à tous,

    Cathye   merci pour votre commentaire que j'apprécie. Votre texte est réjouissant puisqu'il ressemble beaucoup à ce que je ressens, au milieu des gens (à distinguer de la foule). Quant aux fins réinvéntées des histoires, je connais très bien.

    @senna  : j'ai beaucoup lu d'ouvrages sur la Grande Guerre, et retrouve trop de similitudes dans votre texte. Une bonne idée, cependant.
    JML38 le 01 novembre 2022
    Cathye a dit :


    JML38 :  Naïvement je m’attendais à une suite de balais et de tentacules ??


    Ressortir les balais pour évoquer un batteur aurait eu un côté un peu jazzy.
    Quant aux tentacules... ce serait pratique pour jouer de la batterie... il y a une piste à creuser.





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