Contrairement aux commentaires de la couverture, ce livre n’est pas à lire d’une seule traite. Il faut le temps de refaire connaissance avec l’époque ( la guerre, puis l’après guerre) le climat de tristesse et d’ennui dans une grande demeure où le luxe et l’abondance ne sont plus que des souvenirs, des souvenirs de famille, un meurtre non élucidé , des rebondissements, bref, Robert Goddard s’y entend pour nous balader de chapitres en chapitres, jusqu’à l’explication finale. Son livre est dédié à son père, disparu, présumé mort au combat à Ypres le 27 avril 1915…. » Son nom vivra toujours » ….