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Critique de Aluminium


Cette critique va peut-être plus ressembler à un compte-rendu de lecture : j'ai noté en lisant ce dont je veux me souvenir et je les retranscris ici.
Art-Mella cherche à trouver le besoin derrière une émotion, selon le principe de la CNV de Marshall Rosenberg. Elle commence par donner quelques conseils pour accepter une émotion, comme la technique du point karaté. Il s'agit également d'observer la manifestation physique d'une émotion et de l'accueillir jusqu'au bout pour qu'elle se dissipe. Les quatre émotions principales, la peur, la joie, la tristesse et la colère sont associées à un mouvement.
La respiration est importante pour le bien-être du corps et du mental. Elle détaille par exemple le fonctionnement de la marche afghane qui donne de l'endurance.
Être frustré indique que l'on prend un chemin de vie qui ne nous satisfait pas. Un petit exercice pour y remédier : imaginer si on avait 5 autres vies, qu'est-ce qu'on serait ? Une fois la liste faite, en tirer des petites actions réalisables.
Notre boussole, notre intuition nous indique si nous prenons une bonne décision, mais pour cela il ne faut pas être dans le passé ni dans le futur mais dans le moment présent. Pour revenir au présent, on peut prendre conscience de notre corps et de nos 5 sens.
L'auteur rappelle que les humains ne sont pas programmés pour faire plusieurs choses en même temps. le cerveau gère les choses successivement et pas simultanément donc nous loupons des informations, etc.
Ensuite, l'auteur propose d'apprendre à neutraliser une pensée, car en effet, croire nos pensées peut engendrer de la souffrance. En observant le revers de la médaille on peut neutraliser cette pensée qui fait souffrir car l'opposé de cette pensée est vrai aussi.
Il est possible de retrouver la sensation de bonheur d'un évènement passé. Ce principe de l'ancrage apparait dans le roman Ta deuxième vie commence quand tu comprends que tu n'en as qu'une, j'aime le découvrir présenté d'une autre façon. Il est possible de se programmer, se déprogrammer puis se reprogrammer si besoin.
C'était super intéressant d'apprendre que la vision étroite est associée à la survie alors qu'un champ de vision élargi est synonyme de sécurité. Ça signifie qu'il est possible de se conditionner pour rendre agréable quelque chose qu'on apprécie pas particulièrement faire.
La BD m'aura également donné envie de lire Michel Odoul, Eckhart Tolle et Julia Cameron.
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