des mains déplacent mes jouets alignent mes membres dans l’espace effleurent une mèche sur mon front je ne reconnais plus le monde tel que j’achevais à peine de le construire Poursuivant cette quête perpétuelle d’unité, Joanne Morency entre dans le couloir des arrivées et des départs. L’arrivée dans ce corps étrange qu’est la vie. Puis, l’inconcevable départ?: la mort de la mère. je respire dans ton chandail cette odeur d’enfance qui te regarde partir tu ne seras pl... >Voir plus