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Critique de Luria
Aux armes citoyens !
Brûlez et grands plongeons !
C'est la révolution, le peuple enfin se rebelle et se rêve au pouvoir. Se rêve seulement puisque quoi qu'il advienne les pauvres restent pauvres, quant aux autres, tout dépend comment ils ont senti le vent tourner.
Ce troisième tome a été une lecture très difficile. Pas parce que j'étais déçue du contenu (même si je n'en peux plus de la traduction de Jean Claude Mallé. Aux nombreux "du coup" (jusqu'à trois par pages) se liait le mot moignon) mais parce que Saint Virus Covid m'ayant sanctifié de sa béatification malsaine, je n'arrivais pas à me concentrer et ai dû bien relire chaque page de la moitié du livre au moins cinq fois pour assimiler quelque chose. Ça et le fait qu'en bon exécuteur de son univers, Joe Abercrombie a anéanti, parfois avec panache certes, plusieurs de mes personnages de coeur.
Beaucoup de retournements dans l'ultime tome de cette trilogie. de quoi tenir les foules en haleine (histoire de rester sage donc). N'ayant pas eu la patate, la pêche, la forme du slibard, je ne sais pas si je l'ai aimé mais ses personnages, leurs travers et leurs éclats n'ont jamais démérité. Et ça c'était bien.
Brûlez et grands plongeons !
C'est la révolution, le peuple enfin se rebelle et se rêve au pouvoir. Se rêve seulement puisque quoi qu'il advienne les pauvres restent pauvres, quant aux autres, tout dépend comment ils ont senti le vent tourner.
Ce troisième tome a été une lecture très difficile. Pas parce que j'étais déçue du contenu (même si je n'en peux plus de la traduction de Jean Claude Mallé. Aux nombreux "du coup" (jusqu'à trois par pages) se liait le mot moignon) mais parce que Saint Virus Covid m'ayant sanctifié de sa béatification malsaine, je n'arrivais pas à me concentrer et ai dû bien relire chaque page de la moitié du livre au moins cinq fois pour assimiler quelque chose. Ça et le fait qu'en bon exécuteur de son univers, Joe Abercrombie a anéanti, parfois avec panache certes, plusieurs de mes personnages de coeur.
Beaucoup de retournements dans l'ultime tome de cette trilogie. de quoi tenir les foules en haleine (histoire de rester sage donc). N'ayant pas eu la patate, la pêche, la forme du slibard, je ne sais pas si je l'ai aimé mais ses personnages, leurs travers et leurs éclats n'ont jamais démérité. Et ça c'était bien.
