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Critique de Luria
«A good liar tells as much truth as he can. That way you never know what you're getting.»
Il en faut n'est-ce pas parmi ce concert de louanges des gens qui n'ont pas aimé. Je tiendrai le rôle alors, car ça a déjà mal commencé, moi qui suis dyslexique des noms propres, j'ai eu une difficulté dingue à distinguer les Caul, Calder, Craw, Cairm et les autres, et donc à rentrer dans l'histoire.
Oh bien sûr il y a eu des personnages que j'ai apprécié, Bremer van Gost, Black Dow et Finree en tête. Des moments de pure lecture, des phrases bien trouvées. Mais je n'ai vu aucun intérêt, rien de neuf, rien qui me m'a été déjà apporté par d'autres précédentes lectures, d'autres lectures où les batailles étaient aussi bien voire mieux racontées, que ce soit les affrontements, le fait d'être un héros - qu'est-ce qu'un héros ?- ce que cela implique, qui n'en n'est pas un, la nécessité de la Guerre, la politique, ...
Et surtout ces autres lectures avaient une histoire, et pas seulement la guerre, une bataille pure sur 3 jours. Il m'a manqué tout un monde autour. Là, je ne sais pas, j'ai l'impression d'avoir lu du rien, d'avoir fait tout ça pour ça, et puis il m'a manqué l'humour de l'auteur j'ai pensé, est-ce que c'est parce que je l'ai lu en VO, et puis j'ai lu les remerciements et là j'ai retrouvé toute la verve, tout l'humour, toute l'ironie d'Abercrombie. Je me suis dit alors que ces traits manquaient vraiment dans les pages précédentes, dans tout ce pavé qui en somme m'a sacrément lourdé.
[Lu en VO]
[Dicté à Diane, qui maitrise peu la typo, toutes mes excuses si j'y ai laissé des coquilles]
Il en faut n'est-ce pas parmi ce concert de louanges des gens qui n'ont pas aimé. Je tiendrai le rôle alors, car ça a déjà mal commencé, moi qui suis dyslexique des noms propres, j'ai eu une difficulté dingue à distinguer les Caul, Calder, Craw, Cairm et les autres, et donc à rentrer dans l'histoire.
Oh bien sûr il y a eu des personnages que j'ai apprécié, Bremer van Gost, Black Dow et Finree en tête. Des moments de pure lecture, des phrases bien trouvées. Mais je n'ai vu aucun intérêt, rien de neuf, rien qui me m'a été déjà apporté par d'autres précédentes lectures, d'autres lectures où les batailles étaient aussi bien voire mieux racontées, que ce soit les affrontements, le fait d'être un héros - qu'est-ce qu'un héros ?- ce que cela implique, qui n'en n'est pas un, la nécessité de la Guerre, la politique, ...
Et surtout ces autres lectures avaient une histoire, et pas seulement la guerre, une bataille pure sur 3 jours. Il m'a manqué tout un monde autour. Là, je ne sais pas, j'ai l'impression d'avoir lu du rien, d'avoir fait tout ça pour ça, et puis il m'a manqué l'humour de l'auteur j'ai pensé, est-ce que c'est parce que je l'ai lu en VO, et puis j'ai lu les remerciements et là j'ai retrouvé toute la verve, tout l'humour, toute l'ironie d'Abercrombie. Je me suis dit alors que ces traits manquaient vraiment dans les pages précédentes, dans tout ce pavé qui en somme m'a sacrément lourdé.
[Lu en VO]
[Dicté à Diane, qui maitrise peu la typo, toutes mes excuses si j'y ai laissé des coquilles]
