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Critique de Des_livres_et_moi
Un roman fort, captivant, écouté d'une traite.
J'ai beaucoup aimé les voix qui s'entremêlent, et qui permettent de reconstituer l'histoire comme un puzzle, où l'on capte des morceaux que l'on reconstitue à rebours.
Au départ, j'ai eu un peu de mal à entrer dans le texte car j'ai trouvé que la voix d'Alice de Lencquesaing était un peu trop détachée et nonchalante, et celle de Lorenzo Lefebvre m'a perturbée car par certains aspects et tonalités, cette voix m'a fait penser à celle de Benjamin Bollen.
Cependant, au fil du récit, on trouve que les voix commencent à s'accordent et au fur et à mesure, on trouve qu'au final, ce récit est rempli de justesse dans la lecture. On a vraiment l'impression d'avoir de jeunes adultes raconter leur histoire.
Et cette histoire, c'est celle d'une famille parisienne, qui justement va quitter Paris pour s'installer en Bretagne. Les enfants n'apprécient pas ce changement, si l'un essaye de s'adapter tant bien que mal, Léa ne veut qu'une chose, retourner à Paris. Un jour, Léa va disparaître. On la cherche en vain. le malaise familial déjà existant va s'accentuer. Cependant, un jour, Léa est retrouvée par la police. Elle était séquestrée. Comment l'aider à se reconstruire ? L'équilibre familial va-t-il pouvoir être rétabli ?
J'ai beaucoup apprécié le style d'Olivier Adam, ses phrases et ses mots parfois très imagés et qui font vraiment ressortir des émotions. Les thèmes de la disparition et des rapports aux autres, sont traités cette fois-ci avec, en fond, un lien avec les amours adolescentes et l'homosexualité.
J'ai moins apprécié les quelques vulgarités par-ci par-là, car pour moi, les ados ne sont pas forcément vulgaires à tout bout de champ. Et que même s'ils sont euphoriques ou en colère, qu'ils ont des milliards de choses à exprimer, ils peuvent lancer d'autres adjectifs que ceux qui commencent par p...
En tout cas, à lire quand on a la tête bien hors de l'eau !
J'ai beaucoup aimé les voix qui s'entremêlent, et qui permettent de reconstituer l'histoire comme un puzzle, où l'on capte des morceaux que l'on reconstitue à rebours.
Au départ, j'ai eu un peu de mal à entrer dans le texte car j'ai trouvé que la voix d'Alice de Lencquesaing était un peu trop détachée et nonchalante, et celle de Lorenzo Lefebvre m'a perturbée car par certains aspects et tonalités, cette voix m'a fait penser à celle de Benjamin Bollen.
Cependant, au fil du récit, on trouve que les voix commencent à s'accordent et au fur et à mesure, on trouve qu'au final, ce récit est rempli de justesse dans la lecture. On a vraiment l'impression d'avoir de jeunes adultes raconter leur histoire.
Et cette histoire, c'est celle d'une famille parisienne, qui justement va quitter Paris pour s'installer en Bretagne. Les enfants n'apprécient pas ce changement, si l'un essaye de s'adapter tant bien que mal, Léa ne veut qu'une chose, retourner à Paris. Un jour, Léa va disparaître. On la cherche en vain. le malaise familial déjà existant va s'accentuer. Cependant, un jour, Léa est retrouvée par la police. Elle était séquestrée. Comment l'aider à se reconstruire ? L'équilibre familial va-t-il pouvoir être rétabli ?
J'ai beaucoup apprécié le style d'Olivier Adam, ses phrases et ses mots parfois très imagés et qui font vraiment ressortir des émotions. Les thèmes de la disparition et des rapports aux autres, sont traités cette fois-ci avec, en fond, un lien avec les amours adolescentes et l'homosexualité.
J'ai moins apprécié les quelques vulgarités par-ci par-là, car pour moi, les ados ne sont pas forcément vulgaires à tout bout de champ. Et que même s'ils sont euphoriques ou en colère, qu'ils ont des milliards de choses à exprimer, ils peuvent lancer d'autres adjectifs que ceux qui commencent par p...
En tout cas, à lire quand on a la tête bien hors de l'eau !
