Je ne sais pas pourquoi ce roman d'
Olivier Adam m'a autant agacé alors que j'avais bien aimé "
Des vents contraires"... La faute peut être aux nombreuses références musicales et autres, comme s'il s'était chargé de fournir la bande son de son roman. Et puis, en dépit du souffle bien réel, il y a quand même de (longs) passages à vide, pendant lesquels son personnage de romancier dépressif, qui est séparé de sa femme, se plaint sans arrêt. C'est probablement justifié par le récit, mais vraiment lourdingue. le summum est atteint avec une tonne de "japoniaiseries" en prime, seul pays trouvant grâce aux yeux de son personnage .Je vais quand même noter trois pour le souffle (et parfois le style rageur) mais franchement deux suffiraient.
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