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Critique de elleaile
Bof, bof...
Mais encore : il ne se passe pas grand chose en 20 ans dans la vie de 4 personnages (enfin, on parle plutôt du parcours d'Eva, la tradeuse qui, enfant, rêvait de connaître le secret des étoiles).
Les personnages relèvent tous du cliché absolu : le physicien qui n'arrive pas à parler de ses sentiments, Eva qui travaille à la City, Lucien le séducteur et le monde de la nuit, sa soeur l'artiste qui n'arrive pas à percer ni à donner un sens à sa vie... Et c'est encore pire pour les acteurs secondaires qui n'ont aucune profondeur.
Défiler les épisodes d'une amitié pendant tant d'années aurait pu tout de même aboutir à quelque chose d'intéressant si l'auteure ne nous bassinait pas avec une histoire de baiser échangé un été entre deux des protagonistes, un baiser qui aurait pu leur permettre d'être heureux si... etc. Alice Adams nous parle de ce moment pendant des pages et des pages, pendant des années et des années (j'ai vérifié, l'éditeur est Albin Michel et non Harlequin pourtant) comme s'il s'agissait d'une histoire de pré-adolescents.
J'ai failli abandonner puis, comme il y a eu enfin un événement très triste qui bouleverse la vie d'un personnage, j'ai espéré que le roman prenne un peu de corps, mais non tout retombe très vite et on est repartis pour une belle séries de clichés et de remplissage de vide qui aboutit à une situation d'une prévisibilité affligeante.
L'écriture ? Je ne sais pas trop qu'en dire, plat, banal, et ce n'est pas cet aspect qui m'a tirée de mon profond ennui.
Mais encore : il ne se passe pas grand chose en 20 ans dans la vie de 4 personnages (enfin, on parle plutôt du parcours d'Eva, la tradeuse qui, enfant, rêvait de connaître le secret des étoiles).
Les personnages relèvent tous du cliché absolu : le physicien qui n'arrive pas à parler de ses sentiments, Eva qui travaille à la City, Lucien le séducteur et le monde de la nuit, sa soeur l'artiste qui n'arrive pas à percer ni à donner un sens à sa vie... Et c'est encore pire pour les acteurs secondaires qui n'ont aucune profondeur.
Défiler les épisodes d'une amitié pendant tant d'années aurait pu tout de même aboutir à quelque chose d'intéressant si l'auteure ne nous bassinait pas avec une histoire de baiser échangé un été entre deux des protagonistes, un baiser qui aurait pu leur permettre d'être heureux si... etc. Alice Adams nous parle de ce moment pendant des pages et des pages, pendant des années et des années (j'ai vérifié, l'éditeur est Albin Michel et non Harlequin pourtant) comme s'il s'agissait d'une histoire de pré-adolescents.
J'ai failli abandonner puis, comme il y a eu enfin un événement très triste qui bouleverse la vie d'un personnage, j'ai espéré que le roman prenne un peu de corps, mais non tout retombe très vite et on est repartis pour une belle séries de clichés et de remplissage de vide qui aboutit à une situation d'une prévisibilité affligeante.
L'écriture ? Je ne sais pas trop qu'en dire, plat, banal, et ce n'est pas cet aspect qui m'a tirée de mon profond ennui.
