C'est davantage le récit d'une enquête journalistique qu'un roman. Mais c'est superbement expliqué : s'agit-il là du premier et plus grand braquage que permet le net, ou seulement d'une grande incompétence (irresponsabilité ?) de son patron-informaticien en matière de monde réel ? L'auteur nous met sur la piste. Et la Haute Cour japonaise a rendu son arrêt précisément le 11 juin dernier... je n'en dirai pas plus !
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