Une lecture plus agréable que «
Tokyo Vice », car romancée avec un certain panache. Alors que « Toyko Vice » mettait à nu son auteur, le voici qui rend hommage à son protecteur, et le résultat est très beau. Ce qu'il y a de plus admirable dans ce récit, c'est la simplicité avec laquelle les faits sont avancés : sans chercher à se justifier, sans fard ni jugement, mais simplement comme ils sont.
Commenter  J’apprécie         40