Une fois il m'a dit qu'il pensait souvent à la mort. Qu'elle pouvait arriver n'importe quand, n'importe comment et qu'il fallait toujours essayer d'être prêt; Que c'était bien si on pouvait l'accueillir cool, sans avoir fait trop de saloperies pendant la traversée.
Eh oui, même que ça s’appelle le divorce à l’amiable. On paye qu’un avocat, on s’envoie pas les vases de nuit à la tête mais à la fin du quadrille y a quand même des cœurs qui saignent et le Samu n’y peut rien.
Et les difficultés de la vie. Là, on pourrait en faire toute une tartine. Le boulot. Le métro. Les impôts. Les p'tits chefs. Et... Et... Et... Je ne sais pas quoi encore mais il a dû y en avoir des bonheurs loupés tout au long de la route pour qu'on en arrive aujourd'hui là où on en est.