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Critique de Enagrom
Profanation est le deuxième tome des enquêtes du département V, j'ai retrouvé avec plaisir Carl Morck et Assad, dont le duo chef misanthrope et râleur vs assistant dévoué et bonhomme fonctionne bien. Une nouvelle recrue vient grossir les rangs du groupe, ce qui va je pense apporter du piquant dans les relations de bureau !
L'enquête dont il est question ici, le meurtre d'un frère et de sa soeur, date d'une vingtaine d'année et bien que résolue, elle apparait mystérieusement sur le dessus de la pile des dossiers à traiter. le coupable qui s'est rendu de lui-même, purge une peine de prison mais en y regardant de plus près, il semble que l'affaire ait été vite expédiée. Elle met en cause une bande d'adolescents qui à l'époque était scolarisé dans un lycée privé huppé. Aujourd'hui ses membres ont presque tous fait leur chemin.
Jussi Alder-Olsen met en scène des environnements contrastés dans ce roman, on navigue dans les hautes sphères de la société avec les milieux de la finance, du design ou des cliniques privées mais également celui de la rue, peuplé d'individus invisibles dont on fuit en général la compagnie.
Il brosse le portrait d'adolescents devenus adultes, malsains, biberonnés à Orange Mécanique, violents, pervers et perdus. A la fois juste et dérangeant.
L'enquête dont il est question ici, le meurtre d'un frère et de sa soeur, date d'une vingtaine d'année et bien que résolue, elle apparait mystérieusement sur le dessus de la pile des dossiers à traiter. le coupable qui s'est rendu de lui-même, purge une peine de prison mais en y regardant de plus près, il semble que l'affaire ait été vite expédiée. Elle met en cause une bande d'adolescents qui à l'époque était scolarisé dans un lycée privé huppé. Aujourd'hui ses membres ont presque tous fait leur chemin.
Jussi Alder-Olsen met en scène des environnements contrastés dans ce roman, on navigue dans les hautes sphères de la société avec les milieux de la finance, du design ou des cliniques privées mais également celui de la rue, peuplé d'individus invisibles dont on fuit en général la compagnie.
Il brosse le portrait d'adolescents devenus adultes, malsains, biberonnés à Orange Mécanique, violents, pervers et perdus. A la fois juste et dérangeant.
