Disparition et ré-apparition.
Club d' anciens barmans assoiffés de jus de tomate ou sanguinaires et sadiques tueurs chassant l'ennui à coups de couteaux ?
Ce dernier roman de
Marc Agapit (
Adrien Sobra) reprend la thématique célèbre des univers parallèles qu'il avait déjà étudiée dans « Porte sur l'inconnu », dix-huit ans plus tôt.
L'auteur allait lâcher ses romans angoissants à près de 77 ans en s'interrogeant une dernière fois sur le monde des apparences. L'ancien professeur à la curiosité insatiable s'est ici replongé dans l'étude de certaines antiques sectes. Il fait référence au sulfureux « Jardin des supplices » d'
Octave Mirbeau et prévient son lecteur en préambule : ne vous attendez pas à rencontrer ici des dragons !
Le dragon de lumière est la force lumineuse de la logique avec laquelle, il va jouer dans les pages qui vont suivre.
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