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Critique de roussel48
Célestine a tout pour être heureuse, une famille parfaite dans un quartier parfait avec un petit ami parfait lui-aussi. Et il ne peut en être autrement puisque dans le monde Célestine toute imperfection est sévèrement punie par un marquage sur la peau et une exclusion de la société. Les imparfaits sont ignorés ou rejetés.
Au cours d'un trajet dans un bus, Célestine veut porter secours à un Imparfait ce qu'il lui vaut d'être elle-même accusée.
Célestine commence alors à s'interroger sur cette société et ses règles si brutales.
Le roman est une réflexion glaçante sur les dérives d'une société totalitaire, la recherche de la perfection apparaît comme vaine et dangereuse. Les situations et personnages peuvent rappeler des heures sombres de notre histoire : seconde guerre mondiale, ségrégation.
Célestine est courageuse, à tel point que lecteur peut être écoeuré par tout ce qu'elle doit endurer, la deuxième partie du roman est particulièrement violente et parfois difficilement soutenable.
Le personnage de Célestine n'a aucun répit et cette souffrance permanente freine le questionnement du lecteur sur la société elle-même.
Au cours d'un trajet dans un bus, Célestine veut porter secours à un Imparfait ce qu'il lui vaut d'être elle-même accusée.
Célestine commence alors à s'interroger sur cette société et ses règles si brutales.
Le roman est une réflexion glaçante sur les dérives d'une société totalitaire, la recherche de la perfection apparaît comme vaine et dangereuse. Les situations et personnages peuvent rappeler des heures sombres de notre histoire : seconde guerre mondiale, ségrégation.
Célestine est courageuse, à tel point que lecteur peut être écoeuré par tout ce qu'elle doit endurer, la deuxième partie du roman est particulièrement violente et parfois difficilement soutenable.
Le personnage de Célestine n'a aucun répit et cette souffrance permanente freine le questionnement du lecteur sur la société elle-même.
