Je ne connaissais pas
Boris Akounine alors quoi de plus naturel que de le découvrir avec
AZAZEL.
J'ai beaucoup aimé ce polar.
D'abord, lire
AZAZEL c'est se plonger dans la Russie des grands auteurs tels que
Dostoïevski ou encore
Tolstoï. C'est l'emploi de noms à rallonge, une description soucieuse des détails, des personnages hauts en couleur possédant chacun un trait de caractère exacerbé, une Russie majestueuse et mystérieuse à la fois....
Ensuite, au cours de la lecture de ce polar, une scène m'a rappelé le roman
Crime et Châtiment lorsque le personnage principal ayant commis un meurtre, pris de remords, s'enferme dans sa chambre et imagine tout un scénario dans lequel il est recherché à travers tout le pays.
Enfin une intrigue rondement menée avec un personnage principal, Eraste Fandorine que l'on aime avoir à ses côtés tout au long de ces 318 pages.
Alors maintenant je n'ai plus qu'à poursuivre cette heureuse rencontre en lisant
le gambit turc.
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