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Critique de CineKino
(Lu dans le cadre d'une opération Masse critique, mille mercis à l'éditeur et à Babelio pour cette lecture)
Aïe, que de maladresses dans ce roman. Un roman qui, déjà, affirme que "tout, ou presque, est vrai" : alors en fait tout est dans le « ou presque », parce que si ce livre est effectivement basé sur quelques faits et personnages réels (mais aussi sur quelques mythes, rumeurs et autres croyances sur les services secrets qui restent à démontrer) et agrémenté de dizaines de notes de bas de page sur telle arme ou tel service secret, cette histoire d'attentat islamo-nazi contre le Pape relève franchement de la pure fiction.
De là découle donc une histoire assez invraisemblable à base de nazis, de francs-maçons (mais qu'est-ce que ça vient faire là ? Je me le demande encore) et de complot mondial que quelques agents secrets (français surtout, au moins ça change des habituels héros américains) vont devoir déjouer. Et sans conteste cette histoire est prenante et se lit très bien.
Mais je parlais de maladresses : scénaristiques donc, mais aussi géopolitiques, religieuses, sexistes et j'en passe. Surtout, c'est l'écriture qui est particulièrement maladroite, le pire étant ces trop nombreux "Comme vous le savez…" ou "Je vous rappelle que…" des méchants qui entament alors un interminable monologue pour dévoiler des éléments au lecteur de façon très artificielle vu que leur interlocuteur le sait déjà.
Reste malgré tout un divertissement honnête, j'ai enchaîné les pages sans jamais avoir envie d'arrêter ma lecture, d‘où ma note correcte. Mais franchement, si vous voulez de bons romans dans le genre, lisez plutôt les romans de François Morizur (tout aussi pauvres sur le plan littéraire mais terriblement efficaces au niveau de l'histoire) ou bien sûr les Jack Ryan ou le dernier Ken Follett ("Pour rien au monde").
Enfin, j'ai eu la mauvaise surprise de découvrir en dernière page un "A suivre…". C'est si compliqué d'indiquer quelque part sur la couverture ou à la rigueur en 4e de couverture qu'il s'agit du premier tome d'une série ? Bon, heureusement, il y a tout de même une vraie fin (certes temporaire) à ce roman, on ne finit pas sur un cliffhanger, mais je trouve le procédé assez malhonnête envers les lecteurs.
Aïe, que de maladresses dans ce roman. Un roman qui, déjà, affirme que "tout, ou presque, est vrai" : alors en fait tout est dans le « ou presque », parce que si ce livre est effectivement basé sur quelques faits et personnages réels (mais aussi sur quelques mythes, rumeurs et autres croyances sur les services secrets qui restent à démontrer) et agrémenté de dizaines de notes de bas de page sur telle arme ou tel service secret, cette histoire d'attentat islamo-nazi contre le Pape relève franchement de la pure fiction.
De là découle donc une histoire assez invraisemblable à base de nazis, de francs-maçons (mais qu'est-ce que ça vient faire là ? Je me le demande encore) et de complot mondial que quelques agents secrets (français surtout, au moins ça change des habituels héros américains) vont devoir déjouer. Et sans conteste cette histoire est prenante et se lit très bien.
Mais je parlais de maladresses : scénaristiques donc, mais aussi géopolitiques, religieuses, sexistes et j'en passe. Surtout, c'est l'écriture qui est particulièrement maladroite, le pire étant ces trop nombreux "Comme vous le savez…" ou "Je vous rappelle que…" des méchants qui entament alors un interminable monologue pour dévoiler des éléments au lecteur de façon très artificielle vu que leur interlocuteur le sait déjà.
Reste malgré tout un divertissement honnête, j'ai enchaîné les pages sans jamais avoir envie d'arrêter ma lecture, d‘où ma note correcte. Mais franchement, si vous voulez de bons romans dans le genre, lisez plutôt les romans de François Morizur (tout aussi pauvres sur le plan littéraire mais terriblement efficaces au niveau de l'histoire) ou bien sûr les Jack Ryan ou le dernier Ken Follett ("Pour rien au monde").
Enfin, j'ai eu la mauvaise surprise de découvrir en dernière page un "A suivre…". C'est si compliqué d'indiquer quelque part sur la couverture ou à la rigueur en 4e de couverture qu'il s'agit du premier tome d'une série ? Bon, heureusement, il y a tout de même une vraie fin (certes temporaire) à ce roman, on ne finit pas sur un cliffhanger, mais je trouve le procédé assez malhonnête envers les lecteurs.
