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Critique de orbe
Les hommes au pouvoir rejettent le peuple à la périphérie de la ville puis se font renverser par des mutants, les hommes machines avant à leur service.
Pendant ce temps, les hommes rassemblés dans les sept villages pauvres alentour tentent de survivre.
Ils s'hybrident avec la nature et l'on voit apparaître des êtres mi-hommes, mi-animaux. Lorsque les hommes-machines décident de les attaquer, ils tentent de se défendre puis ils s'organisent pour les contrer...
Difficile de résumer ce roman dense et riche. J'ai beaucoup aimé cette histoire au vocabulaire qui nous pousse à imaginer la femme à tête d'ours ou encore la manière dont les couleurs sont représentées.
Elle offre une fable qui dénonce les dictatures et pour cela nous appelle à nous unir toujours plus en tenant compte des compétences de chacun et sans dénigrer le pouvoir des arts.
Par ailleurs, les illustrations sont aussi chaleureuses et nécessaires pour nous plonger dans ce conte fantastique.
À découvrir !
Pendant ce temps, les hommes rassemblés dans les sept villages pauvres alentour tentent de survivre.
Ils s'hybrident avec la nature et l'on voit apparaître des êtres mi-hommes, mi-animaux. Lorsque les hommes-machines décident de les attaquer, ils tentent de se défendre puis ils s'organisent pour les contrer...
Difficile de résumer ce roman dense et riche. J'ai beaucoup aimé cette histoire au vocabulaire qui nous pousse à imaginer la femme à tête d'ours ou encore la manière dont les couleurs sont représentées.
Elle offre une fable qui dénonce les dictatures et pour cela nous appelle à nous unir toujours plus en tenant compte des compétences de chacun et sans dénigrer le pouvoir des arts.
Par ailleurs, les illustrations sont aussi chaleureuses et nécessaires pour nous plonger dans ce conte fantastique.
À découvrir !
