Laura Alcoba nous présente ici une histoire d'intégration : d'abord l'apprentissage des mots ( grâce à "Robertito"), la lecture des classiques( pour satisfaire son père toujours prisonnier en Argentine), l'attention portée à l'émergence d'un nouveau Président de la République...
...Et la vie quotidienne,dans un immeuble de Bagnolet, entre sa mère et Amalia (qui est atteinte de la sclérose en plaques).
C'est une enfant, somme toute, heureuse qui parle ; la fin du roman est une ouverture sur un monde meilleur.
L'éditeur qui a cru bon de préciser sur la bande : "Petite musique d'exil", ne s'y est pas trompé : c'est exactement mon ressenti.
Commenter  J’apprécie         40