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Critique de LoupAlunettes
Un album très intéressant sur l'enfance et la capacité de se divertir en s'ennuyant.
Le texte restitue cette poésie du moment, avec l'ennui, dans la joie de s'amuser trouvée, celle de s'émerveiller, de la curiosité à revendre.
Les superbes illustrations de Béatrice Alemagna magnifie ce moment personnel introspectif de belles plongées, contre-plongées, de métaphores visuelles où l'imaginaire devient palpable à partir de choses simples et ordinaires.
C'est en trainant les bottes vers cette maison en peine campagne avec sa maman que le petit héros décide d'emblée que le temps va se suspendre et l'excitation se figer.
Tandis que sa maman travaille, le petit ne semble pas vouloir se sortir de son jeu électronique qui porte sa maman sur les nerfs à plusieurs titres.
C'est la moue en grimace et équipé d'un ciré orange qui déguise le petit héros en étoile dans le paysage que celui-ci s'aventure au dehors, à défaut de trouver du réconfort dans un dedans plus au sec.
Là dehors, il pleut.
Tant mieux car l'humeur est à la pluie.
Des rais de lumière filtrent à travers les nuages gris qui offrent un refuge intime de feuillages et de cailloux,.
Des jeux de lumière colorés rendent le paysage trempé chatoyant et c'est parti pour une balade, une chasse à l'escargot, une exploration du sol, de densité et de composition diverse.
Une image nous vient, des petits couverts d'un ciré et équipés de bottes en caoutchouc, pataugeant dans des flaques d'eau, récoltant des bâtons, pêchant et collectionnant des cailloux. Des instant récréatifs de rien.
Le petit se fait surprendre par le paysage gonflé de vents, court, tombe sans mal, la console tombe à l'eau mais le joli moment pansera une autre nostalgie bien plus urgente, un élément que les jeunes lecteurs découvriront.
L'idée est originale, sent bon le chocolat chaud, elle est évocatrice pour les grands et les petits, les illustrations sont d'une nostalgie très douce et réconfortante.
Un bel album à lire avant, pendant, après les jours de rien.
Le texte restitue cette poésie du moment, avec l'ennui, dans la joie de s'amuser trouvée, celle de s'émerveiller, de la curiosité à revendre.
Les superbes illustrations de Béatrice Alemagna magnifie ce moment personnel introspectif de belles plongées, contre-plongées, de métaphores visuelles où l'imaginaire devient palpable à partir de choses simples et ordinaires.
C'est en trainant les bottes vers cette maison en peine campagne avec sa maman que le petit héros décide d'emblée que le temps va se suspendre et l'excitation se figer.
Tandis que sa maman travaille, le petit ne semble pas vouloir se sortir de son jeu électronique qui porte sa maman sur les nerfs à plusieurs titres.
C'est la moue en grimace et équipé d'un ciré orange qui déguise le petit héros en étoile dans le paysage que celui-ci s'aventure au dehors, à défaut de trouver du réconfort dans un dedans plus au sec.
Là dehors, il pleut.
Tant mieux car l'humeur est à la pluie.
Des rais de lumière filtrent à travers les nuages gris qui offrent un refuge intime de feuillages et de cailloux,.
Des jeux de lumière colorés rendent le paysage trempé chatoyant et c'est parti pour une balade, une chasse à l'escargot, une exploration du sol, de densité et de composition diverse.
Une image nous vient, des petits couverts d'un ciré et équipés de bottes en caoutchouc, pataugeant dans des flaques d'eau, récoltant des bâtons, pêchant et collectionnant des cailloux. Des instant récréatifs de rien.
Le petit se fait surprendre par le paysage gonflé de vents, court, tombe sans mal, la console tombe à l'eau mais le joli moment pansera une autre nostalgie bien plus urgente, un élément que les jeunes lecteurs découvriront.
L'idée est originale, sent bon le chocolat chaud, elle est évocatrice pour les grands et les petits, les illustrations sont d'une nostalgie très douce et réconfortante.
Un bel album à lire avant, pendant, après les jours de rien.
