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Critique de Noctenbule
Sergio Algozzino au dessin et Guillaume Bianco au texte ont donné naissance à un chien bien particulier qui se nomme Epictète. Dans une bande dessinée au format bien particulier pour nous présenter une histoire tout aussi surprenante dans le fond que dans la forme.
Ce n'est pas un hasard si le héros de la bande dessinée porte le nom d'un philosophe stoïcien. Il paraît qu'il se serait fait casser la jambe pour prouver qu'il pouvait gérer la douleur. Mais aucun écrit n'a subsisté de son vivant. le petit chien tente désespérément de s'échapper, de s'évader à tout prix du cadre de la bande dessinée. Tout est bon pour trouver de nouvelles idées d'évasion. Surtout quand on collabore avec le dessinateur qui peut par exemple se casser le poignet ou oublier un trait sur un bord de case. Toutefois, la déception est toujours au rendez-vous puisqu'il n'arrive jamais à partir. Il profite de ces moment d'enfermement pour observer le monde qui l'entoure sous toutes les coutures.
Le personnage est bougon, râleur, insatisfait, colérique et n'est jamais content. Il représente bien les êtres humains en général. Il se pose pleins de questions sur son existence et jamais il n'aura de réponse. Comment ne penser à une liberté qui serait meilleure et plus épanouissante ailleurs?
Il peut communiquer avec le lecteur grâce à une bulle qui a été abandonnée. Elle n'est pas toujours partante pour communiquer les paroles que souhaitent dire Epictète. Elle a son caractère. L'imagination du dessinateur et du rédacteur pousse la frontière du classique. Déjà en prenant un personnage réfléchissant sur son identité et sa condition de vie qui se résume à des cases bien délimitées dans un ouvrage de taille bien particulière de 400 sur 70 mm. Sans complexe on passe de la couleur au noir et blanc à un strip se lit dans les deux sens puis à espace sans limite de trait.... le fait de s'impose des limites pousse les créateurs à innover au-delà des limites et du classicisme.
Il est bon de tomber par hasard sur une bande dessinée toute loufoque avec de l'humour et de la dérision. Alors si trouver un ouvrage tellement grand qu'il ne tient nulle part, tentez l'aventure du sourire et du rire. Parfois il faut se laisser surprendre pour découvrir une pépite.
Lien : http://22h05ruedesdames.word..
Ce n'est pas un hasard si le héros de la bande dessinée porte le nom d'un philosophe stoïcien. Il paraît qu'il se serait fait casser la jambe pour prouver qu'il pouvait gérer la douleur. Mais aucun écrit n'a subsisté de son vivant. le petit chien tente désespérément de s'échapper, de s'évader à tout prix du cadre de la bande dessinée. Tout est bon pour trouver de nouvelles idées d'évasion. Surtout quand on collabore avec le dessinateur qui peut par exemple se casser le poignet ou oublier un trait sur un bord de case. Toutefois, la déception est toujours au rendez-vous puisqu'il n'arrive jamais à partir. Il profite de ces moment d'enfermement pour observer le monde qui l'entoure sous toutes les coutures.
Le personnage est bougon, râleur, insatisfait, colérique et n'est jamais content. Il représente bien les êtres humains en général. Il se pose pleins de questions sur son existence et jamais il n'aura de réponse. Comment ne penser à une liberté qui serait meilleure et plus épanouissante ailleurs?
Il peut communiquer avec le lecteur grâce à une bulle qui a été abandonnée. Elle n'est pas toujours partante pour communiquer les paroles que souhaitent dire Epictète. Elle a son caractère. L'imagination du dessinateur et du rédacteur pousse la frontière du classique. Déjà en prenant un personnage réfléchissant sur son identité et sa condition de vie qui se résume à des cases bien délimitées dans un ouvrage de taille bien particulière de 400 sur 70 mm. Sans complexe on passe de la couleur au noir et blanc à un strip se lit dans les deux sens puis à espace sans limite de trait.... le fait de s'impose des limites pousse les créateurs à innover au-delà des limites et du classicisme.
Il est bon de tomber par hasard sur une bande dessinée toute loufoque avec de l'humour et de la dérision. Alors si trouver un ouvrage tellement grand qu'il ne tient nulle part, tentez l'aventure du sourire et du rire. Parfois il faut se laisser surprendre pour découvrir une pépite.
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