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Critique de Clem_YCR
Je poursuis mon opération "nettoyage de printemps" avec Miroir d'Alick qui était également dans ma PAL depuis un petit moment...
Si ma lecture était plutôt mal engagée, je me suis finalement laissée prendre au jeu et ai même du attendre le retour de mon mari pour me coucher...
D'entrée de jeu, Alick nous place face à une scène dérangeante et je me suis demandée dans quoi je m'engageais. Il faut le dire, l'entièreté du roman est perturbante et les descriptions de scènes de crime ou de sexe sans filtre; ce roman n'est donc pas à mettre entre toutes les mains ! J'ai été dérangée par l'aspect un peu mystique/surnaturel de l'histoire, j'aurai préféré quelque chose de plus terre à terre pour un roman "policier". Cependant, une fois plongée dans l'histoire, une sorte de recherche frénétique se créée, il est question de savoir comment vont se rejoindre tous les fils tendus par l'auteur.
En effet, dans Miroir, nous suivons les points de vue alternés (certains ont droit à la parole plus de fois que d'autres) de plusieurs personnages; beaucoup en fait : le tueur, la commandante en charge du dossier, une jeune femme nommée Ines, un garçon appelé Nicolas, un autre tueur en série arrêté depuis peu et l'introduction/conclusion sont encore présentés d'une autre façon. Loin de déranger, cette particularité amène plutôt à s'interroger sur l'intrigue. Plus d'une fois j'ai émis des hypothèses que j'ai ensuite rejetées car cela ne collait pas... finalement, j'avais plus ou moins juste sur certains points mais je ne m'attendais vraiment pas à une telle chute.
Les personnages ne sont pas vraiment "attachants" et j'ai eu beaucoup de mal avec les points de vue d'Alexandre; le roman est indéniablement noir, stressant, prenant.
Au final, malgré un contenu dérangeant par certains aspects, Miroir sait captiver le lecteur et cette lecture a été une jolie découverte.
Si ma lecture était plutôt mal engagée, je me suis finalement laissée prendre au jeu et ai même du attendre le retour de mon mari pour me coucher...
D'entrée de jeu, Alick nous place face à une scène dérangeante et je me suis demandée dans quoi je m'engageais. Il faut le dire, l'entièreté du roman est perturbante et les descriptions de scènes de crime ou de sexe sans filtre; ce roman n'est donc pas à mettre entre toutes les mains ! J'ai été dérangée par l'aspect un peu mystique/surnaturel de l'histoire, j'aurai préféré quelque chose de plus terre à terre pour un roman "policier". Cependant, une fois plongée dans l'histoire, une sorte de recherche frénétique se créée, il est question de savoir comment vont se rejoindre tous les fils tendus par l'auteur.
En effet, dans Miroir, nous suivons les points de vue alternés (certains ont droit à la parole plus de fois que d'autres) de plusieurs personnages; beaucoup en fait : le tueur, la commandante en charge du dossier, une jeune femme nommée Ines, un garçon appelé Nicolas, un autre tueur en série arrêté depuis peu et l'introduction/conclusion sont encore présentés d'une autre façon. Loin de déranger, cette particularité amène plutôt à s'interroger sur l'intrigue. Plus d'une fois j'ai émis des hypothèses que j'ai ensuite rejetées car cela ne collait pas... finalement, j'avais plus ou moins juste sur certains points mais je ne m'attendais vraiment pas à une telle chute.
Les personnages ne sont pas vraiment "attachants" et j'ai eu beaucoup de mal avec les points de vue d'Alexandre; le roman est indéniablement noir, stressant, prenant.
Au final, malgré un contenu dérangeant par certains aspects, Miroir sait captiver le lecteur et cette lecture a été une jolie découverte.
