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Critique de sarahlucienne
Même si je maintiens une certaine analogie avec Harry Potter, à commencer par le trio reconstitué, où June semble avoir la place de Ron et Sapotille celle d'Hermione, en sus de Thibald en guise de Drago je dois reconnaître avoir pris plaisir à ce second tome, où certains personnages secondaires prennent de l'étoffe. Les enfants de Saint Fouettard ressemblent à des enfants perdus qui n'auraient pas trouvé leur Peter Pan, Célestin Bourpin s'avère beaucoup plus subtil qu'il n'y paraît ainsi que maître Lin. Même l'allégorie de la mort, qui n'était dans le premier tome qu'un emprunt malheureux à Terry Pratchett, se révèle en fin de volume. Bref, Mme Alwett semble se libérer de ses illustrés prédécesseurs pour laisser libre cours à sa propre fantaisie, ou ses pires cauchemars, c'est selon. J'avoue être intriguée par la suite et me demander comment elle va tenir l'intrigue sur le troisième et dernier volume.
