Il est dur. Mais il est beau.
Il est dur de lire et de vivre à travers ces trois femmes les destins du sexe maltraité et mal-aimé. Il est dur de voir la haine des femmes à travers les yeux des femmes. Il est dur de voir la violence exploser leurs corps, les larmes les mouiller.
Mais il est beau aussi, parce que l'on ne ferme pas le livre abattu•e. On le ferme avec l espoir que ces femmes à qui l'on demande la patience de vivre l invivable pour mieux les soumettre, ces femmes sauront combattre avec leurs mots et leur courage pour renverser ce patriarcat qui les condamne.
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