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Critique de nathavh


"Le premier exil" s'intègre dans l'autobiographie fleuve de l'auteur que je n'ai pas lue et ne lirai pas.

J'ai eu l'impression de prendre une lecture en cours, d'avoir loupé un épisode. Je ne suis jamais parvenue à adhérer au récit et à l'apprécier à sa juste valeur j'imagine.

Amigorena fait référence à des éléments déjà racontés dans d'autres volumes.

Cette période est tout de même le début de ses souvenirs puisqu'elle court de ses 6 à 12 ans.

Cela commence par le décès de son arrière-grand-père maternel, retour à Buenos Aires trois mois après l'installation à Montevideo. C'est le retour en Argentine abandonnée quelques mois plus tôt pour fuir la dictature naissante, - qui les rattrapera un peu plus tard en Uruguay - le décès de l'abuelo marque la coupure et l'abandon du pays.


Je n'ai pas pris de plaisir dans cette lecture, l'écriture me semblant - désolée de le dire mais c'est mon ressenti - ampoulée, trop intellectualisée, nombriliste.

Pendant les 111 premières pages du premier chapitre, j'ai eu le sentiment que l'auteur s'autopsychanalisait... faut dire que c'est à l'âge de six ans qu'il a commencé une psychanalyse au rythme de 3 fois semaine...

Il y a de belles réflexions philosophiques sur la mort qui le hante depuis l'enfance, mais ce récit est aussi avant tout la découverte de l'écriture.

Souvenirs d'enfance plic ploc teintés de mélancolie, la grande maison de Montevideo, le gomero, le dentiste (oui oui passionnant ) et psychanaliste..., désolée ce n'était peut-être pas le bon moment mais je n'ai pas accroché et j'ai tellement à lire.

Ma note : abandon
Lien : https://nathavh49.blogspot.c..
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