"Il y a un petit côté « entre-soi » assumé un peu irritant dans ce livre de 700 pages qui aurait pu être réduit du tiers." C'est une citation de la critique parue dans le journal le Monde. Réduit du tiers : oui, certainement. Au moins.
Pour ma part, j'ai décroché à la page 200, voyant que pas grand-chose ne venait. J'ai feuilleté-fouillé la suite sans rien découvrir d'autre qu'une sorte de nombrilisme, certes relativement humoristique (au moins dans la forme), complaisant. J'ai trouvé quelques pages originales, de ci de là, sur le métier de romancier, mais pas de quoi s'investir sur 700 pages. On suppose que cette lecture est réservée à ceux qui connaissent bien
Martin Amis. Et encore.
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