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Critique de ileana


Les articles consacrés à ses auteurs préférés : la dévotion sans nuances ne laisse plus de place à l'argumentation. Les extraits ne sont pas des arguments à mes yeux.
La section consacrée à Bellow et Nabokov s'intitule Twin Peaks : parce qu'ils sont deux.
Gênante, l'absence de cohérence : « Dans Chien jaune, j'ai écrit que la monarchie c'était de la branlette », nous rappelle-t-il en page 289. Mais pour les quotidiens il rédige une vingtaine de pages sur la maison de Windsor – et ce n'est pas une satire, c'est du sérieux. Bref, des écrits alimentaires.
Restent les commentaires politiques. Insolents, mordants.
Il parait que Martin Amis possède le sens de la formule, mais ….. lost in translation. Je suis persuadée que le désamour des lecteurs francophones est dû notamment à la piètre traduction.

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