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Critique de des_livres_a_la_plume
Toutes elle. Elles toutes. Elles et nous. Nous toutes. Une histoire de femmes. Comme elles. Comme nous. de femmes singulières et semblables à la fois.
Oui, on peut être une entrepreneuse audacieuse, une jeune vendeuse qui vend du rêve, une femme au foyer et avoir des choses qui nous relient, plus grandes que nos différences. Il suffit parfois d'une cage d'escalier et d'une pandémie pour s'en rendre compte.
Il me faut souvent un peu de temps pour bien cerner les personnages dans un roman choral, mais cela n'a pas du tout été le cas ici. L'auteure nous plonge tout de suite dans le vif du sujet et on différencie très vite Rose, Chloé et Isabelle. On rencontre des femmes fortes et fragiles, plus vraies que nature, dans lesquelles on retrouve facilement un peu de nous.
C'est une histoire de vies, un roman féminin, une ode à la sororité, néanmoins ne vous attendez pas à un récit à l'eau de rose. Dans Toutes elle, vous découvrirez de nombreux thèmes actuels abordés avec une très grande justesse : le couple, la carrière, l'argent, la grossesse, la maternité, le rôle de la mère moderne, l'amitié, les clichés, les carcans, les qu'en-dira-t-on, la jalousie, les surprises et les coups durs… Cette fiction nous offre une jolie parenthèse livresque, mais elle nous pousse aussi à la réflexion et à faire le point sur nos priorités.
Dans la vie, on fait souvent un pas en avant, un pas en arrière ou deux sur le côté… Mais parfois vient le jour de bascule, celui où on ne peut plus se voiler la face et où il faut radicalement changer notre trajectoire.
Même si je n'ai pas réussi à cerner l'un des personnages (désolée William !) et même si j'aurais adoré que les univers de ces femmes se mêlent un peu plus vite, j'ai été charmée par cette histoire. Ce roman possède de bons ingrédients et mon petit doigt me dit qu'on n'a pas fini d'entendre parler de Caroline Amoretti.
Oui, on peut être une entrepreneuse audacieuse, une jeune vendeuse qui vend du rêve, une femme au foyer et avoir des choses qui nous relient, plus grandes que nos différences. Il suffit parfois d'une cage d'escalier et d'une pandémie pour s'en rendre compte.
Il me faut souvent un peu de temps pour bien cerner les personnages dans un roman choral, mais cela n'a pas du tout été le cas ici. L'auteure nous plonge tout de suite dans le vif du sujet et on différencie très vite Rose, Chloé et Isabelle. On rencontre des femmes fortes et fragiles, plus vraies que nature, dans lesquelles on retrouve facilement un peu de nous.
C'est une histoire de vies, un roman féminin, une ode à la sororité, néanmoins ne vous attendez pas à un récit à l'eau de rose. Dans Toutes elle, vous découvrirez de nombreux thèmes actuels abordés avec une très grande justesse : le couple, la carrière, l'argent, la grossesse, la maternité, le rôle de la mère moderne, l'amitié, les clichés, les carcans, les qu'en-dira-t-on, la jalousie, les surprises et les coups durs… Cette fiction nous offre une jolie parenthèse livresque, mais elle nous pousse aussi à la réflexion et à faire le point sur nos priorités.
Dans la vie, on fait souvent un pas en avant, un pas en arrière ou deux sur le côté… Mais parfois vient le jour de bascule, celui où on ne peut plus se voiler la face et où il faut radicalement changer notre trajectoire.
Même si je n'ai pas réussi à cerner l'un des personnages (désolée William !) et même si j'aurais adoré que les univers de ces femmes se mêlent un peu plus vite, j'ai été charmée par cette histoire. Ce roman possède de bons ingrédients et mon petit doigt me dit qu'on n'a pas fini d'entendre parler de Caroline Amoretti.
