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Critique de Lenocherdeslivres
Je ne lis pas régulièrement des mangas, par manque de temps et manque de connaissances dans le domaine. Car c'est un vaste champ que celui des shônen, seinen et autres types de mangas. Mais j'ai été rapidement attiré par cette série. En partie parce qu'elle parle de musique. Et que je suis toujours curieux de voir comment on peut aborder le son avec des images et des mots. Comment on peut ainsi faire ressentir la vibration des notes, leur puissance, leur harmonie. Mais aussi parce qu'elle aborde un instrument de musique dont j'ignorais à peu près tout : le koto.
Cet instrument à cordes, gigantesque, qui ressemble à une grande planche de bois courbée sur laquelle sont tendues plusieurs cordes (leur nombre varie selon le « modèle ») est typiquement japonais. Et ses sonorités m'étaient également inconnues, ou presque. J'ai donc rapidement fait un tour sur internet afin de découvrir davantage ce dont il était capable.
Mais auparavant, j'ai lu le premier tome de Sounds of Life. le schéma en est classique, mais il écrit et dessiné avec une grande finesse. Je me suis rapidement laissé emporter par l'histoire. Et par la vie des personnages, qui nous arrivent tous avec leurs déchirures profondes, leurs blessures qui vont sans doute pouvoir guérir grâce à la force du collectif. Et, comme de bien entendu, au début, ce n'est pas gagné. Takezô se retrouve seul pour animer le club de koto de son école. Toutes les filles qui étaient avec lui sont parties. Or, cet instrument de musique est plutôt joué par des jeunes femmes. Il va devoir s'affirmer, ce qui lui est très difficile. Il va être rejoint par Chika, un garçon à très mauvaise réputation : il enchaîne les bagarres et les mauvaises fréquentations. Mais il a un lien très fort avec le koto. Quant à Satowa, elle est l'héritière d'une famille fameuse pour son école de koto. Mais des tensions l'empêchent de profiter pleinement de cet héritage. Ce trio, épaulé par quelques sympathiques clowns, va rencontrer très rapidement son premier défi : si ces quelques membres du club veulent que leur association ait le droit de continuer à exister, il va leur falloir gagner le coeur des autres lycéens en apprenant et interprétant un morceau. Or, parmi eux, deux membres seulement savent jouer. Un sacré défi !
Prendre confiance en soi dans l'adversité et grâce à l'appui des autres. le message est toujours le même, mais il est ici illustré à merveille. le caractère des personnages est bien marqué, sans l'être de façon excessive. L'histoire tient la route, malgré quelques exagérations. le ton mêle adroitement détresse et humour, moments de relâchement et passages intenses. Et les pages qui relatent des moment musicaux m'ont particulièrement plu : entre le décor qui change pour évoquer ce que la musique fait naître comme sentiment et les lignes de force qui en prouvent l'intensité, j'ai été tout à fait convaincu.
Bonne pioche que cette série. J'ai déjà acquis les tomes suivants et compte bien les lire. Et venir vous en parler ici.
Cet instrument à cordes, gigantesque, qui ressemble à une grande planche de bois courbée sur laquelle sont tendues plusieurs cordes (leur nombre varie selon le « modèle ») est typiquement japonais. Et ses sonorités m'étaient également inconnues, ou presque. J'ai donc rapidement fait un tour sur internet afin de découvrir davantage ce dont il était capable.
Mais auparavant, j'ai lu le premier tome de Sounds of Life. le schéma en est classique, mais il écrit et dessiné avec une grande finesse. Je me suis rapidement laissé emporter par l'histoire. Et par la vie des personnages, qui nous arrivent tous avec leurs déchirures profondes, leurs blessures qui vont sans doute pouvoir guérir grâce à la force du collectif. Et, comme de bien entendu, au début, ce n'est pas gagné. Takezô se retrouve seul pour animer le club de koto de son école. Toutes les filles qui étaient avec lui sont parties. Or, cet instrument de musique est plutôt joué par des jeunes femmes. Il va devoir s'affirmer, ce qui lui est très difficile. Il va être rejoint par Chika, un garçon à très mauvaise réputation : il enchaîne les bagarres et les mauvaises fréquentations. Mais il a un lien très fort avec le koto. Quant à Satowa, elle est l'héritière d'une famille fameuse pour son école de koto. Mais des tensions l'empêchent de profiter pleinement de cet héritage. Ce trio, épaulé par quelques sympathiques clowns, va rencontrer très rapidement son premier défi : si ces quelques membres du club veulent que leur association ait le droit de continuer à exister, il va leur falloir gagner le coeur des autres lycéens en apprenant et interprétant un morceau. Or, parmi eux, deux membres seulement savent jouer. Un sacré défi !
Prendre confiance en soi dans l'adversité et grâce à l'appui des autres. le message est toujours le même, mais il est ici illustré à merveille. le caractère des personnages est bien marqué, sans l'être de façon excessive. L'histoire tient la route, malgré quelques exagérations. le ton mêle adroitement détresse et humour, moments de relâchement et passages intenses. Et les pages qui relatent des moment musicaux m'ont particulièrement plu : entre le décor qui change pour évoquer ce que la musique fait naître comme sentiment et les lignes de force qui en prouvent l'intensité, j'ai été tout à fait convaincu.
Bonne pioche que cette série. J'ai déjà acquis les tomes suivants et compte bien les lire. Et venir vous en parler ici.
