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Critique de gill
Ce recueil de nouvelles n'est pas vraiment un livre de science-fiction, on peut plus justement dire qu'il contient quelques textes de ce genre.
Les deux premiers "Les faits d'eiffel" et " la planète inexistence" en font partie ; de cette science-fiction, poétique, raffinée, d'inspiration féminine dont le genre manque cruellement. Certains passages font parfois penser au style de Marcel Aymé.
Ensuite l'auteur délaisse ce genre pour le fantastique, le merveilleux, toujours teintée de poésie et d'humour.
La troisième nouvelle "la renégate" marquant un certain essoufflement dans le rythme (car trop longue pour un intérêt qui se perd dans une intrigue floue), Marianne Andrau nous offre avec la suivante un texte déroutant, original et exceptionnel de finesse et de sensibilité : l'histoire d'un homme, sylvain Magne, qui se prend pour un arbre et sombre dans la folie avant d'être interné.
Au final ce recueil est fait d'une écriture fine et brillante et, ne ressemble pas à ce qu'annonce la quatrième de couverture. Mais on en sort rafraîchi et heureux de l'avoir découvert.
Les deux premiers "Les faits d'eiffel" et " la planète inexistence" en font partie ; de cette science-fiction, poétique, raffinée, d'inspiration féminine dont le genre manque cruellement. Certains passages font parfois penser au style de Marcel Aymé.
Ensuite l'auteur délaisse ce genre pour le fantastique, le merveilleux, toujours teintée de poésie et d'humour.
La troisième nouvelle "la renégate" marquant un certain essoufflement dans le rythme (car trop longue pour un intérêt qui se perd dans une intrigue floue), Marianne Andrau nous offre avec la suivante un texte déroutant, original et exceptionnel de finesse et de sensibilité : l'histoire d'un homme, sylvain Magne, qui se prend pour un arbre et sombre dans la folie avant d'être interné.
Au final ce recueil est fait d'une écriture fine et brillante et, ne ressemble pas à ce qu'annonce la quatrième de couverture. Mais on en sort rafraîchi et heureux de l'avoir découvert.
