À la lecture du roman, des images me sont apparues entre le cercle des poètes disparus et Les choristes.
L'écriture de
Jean-Baptiste Andrea est visuelle. Les scènes du film se succèdent pour faire un récit trépidant. Les rebondissements sont incessants. Dans mon fauteuil rouge, j'ai vécu l'injustice, l'amour, la revanche et l'amitié.
La galerie de personnages est hétéroclite, avec mentions spéciales pour le professeur Rothenberg, l'astronaute
Michael Collins, Rose et l'abbé Sénac.
Des diables et des saints se lit sans entracte.
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