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Citations sur Le plus beau lundi de ma vie tomba un mardi (41)

Pleurer et se plaindre n'a jamais fait avancer les hommes.
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Même si nous ne naissons pas avec les mêmes chances, on peut toujours changer. Il suffit juste de faire plus d'efforts que les autres.
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Un humain, c'est comme un moteur, cela possède une mécanique et une force prodigieuses, et il suffit juste d'une étincelle pour le faire démarrer.
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Il faut toujours être ambitieux et viser haut pour avoir un peu moins.
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Il faut toujours se fixer des objectifs dans la vie pour avancer.
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Quand on a un rêve, il faut aller jusqu'au bout, indépendamment de ce que disent ou pensent les personnes. Indépendamment des barrières et des limites de chacun.
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(Les premières pages du livre)
J’ai appris très tard que mon nom de famille était le nom d’un village du cœur de l’Italie dans lequel s’était réfugié un grand nombre de juifs. Persécutés, nombre d’entre eux durent se convertir au catholicisme pour ne pas être tués. On baptisa ces premiers avec le nom de l’endroit où ils habitaient. Voilà comment mes ancêtres s’appelèrent Andrea. Cette histoire familiale est, sans nul doute, à l’origine de ce roman.
Et bien que je ne me sente ni juif(ve) ni d’aucune autre religion, d’aucun peuple, bien que je ne me sente tout simplement qu’humain(e), d’une seule planète, la Terre, bien que ma culture soit multiple et s’inscrive dans tous ces mélanges qui m’ont engendré(e), je souhaitais dans le présent roman rendre un hommage à ce petit bout d’histoire qui est le mien, à cette petite goutte de sang qui court dans mes veines comme dans celles de millions de juifs dans le monde.
Je souhaitais également aborder des questions plus philosophiques. Peut-on changer ? Peut-on punir un vieil homme pour quelque chose qu’il a fait dans sa jeunesse ? Cela a-t-il une quelconque utilité ? Je ne juge pas, je m’interroge. Ce roman ne pourra y répondre, car je n’y ai moi-même pas trouvé de réponse. Peu importe, après tout. Le principal est de s’être posé la question, d’avoir vibré avec Noah, d’avoir tremblé en apprenant le terrible secret de Jacob.
Vous ne savez toujours pas qui se cache derrière le pseudonyme de Camille Andrea, et vous continuez cependant à lire mes histoires. Ce sont elles qui, derrière le masque, importent vraiment et sont les plus sincères.
Un nom ne sert à rien pour écrire un livre.
Seule une bonne histoire compte.
Je vous aime tant. Vous êtes ma raison de continuer à me lever le matin pour lier les mots sur le clavier d’un ordinateur, ma raison de rêver, de créer.
Pour tout cela, merci. Camille Andrea

Lundi
Je n’ai jamais bien compris pourquoi les gens n’aiment pas les lundis. Je n’ai jamais aimé les jugements gratuits non plus, faits à l’emporte-pièce. Les préjugés. On dit qu’il y a des jours qui valent moins que les autres, puis on dit qu’il y a des sous-hommes, des sous-races. On vilipende le lundi, et puis on finit par vilipender les gens. Qu’ont de moins les lundis, je vous le demande ? Molière disait, dans la bouche de son Dom Juan, que les débuts ont des charmes inexprimables. Or, le lundi est le début de la semaine. C’est le moment où tout est encore possible, où tout reste à faire. La jeunesse de la semaine, dirais-je si j’étais poète. Et la jeunesse, Dieu ce qu’on la regrette quand on arrive à l’hiver de notre vie, vous verrez ça, et bien plus tôt que vous ne le pensez. Lorsqu’il n’y a plus rien à regarder devant, qu’il ne nous reste plus qu’à regarder au-dessus de notre épaule, tous ces souvenirs, ces regrets laissés derrière. Quand on est au lundi de notre vie, tout est à venir. Au lundi de notre vie, tiens, voilà que je continue à faire de la poésie.
Quoi qu’il en soit. Les plus belles choses de ma vie se sont produites un lundi. Enfin, je crois, si la mémoire ne me fait pas défaut. Elle a tendance à s’effriter un peu dernièrement. Il serait peut-être temps que je vous raconte cette histoire, avant que je ne l’oublie.
L’histoire d’un lundi merveilleux. D’un lundi inoubliable.
L’histoire de ce plus beau lundi de ma vie qui, c’est un comble, tomba un mardi.
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L’enfant ne tarda pas à revenir. Comme il l’avait promis. Un homme politique qui tenait ses promesses. En voilà une nouveauté !
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Chaque mercredi, le vieux reprenait vie.
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Le lendemain, Jacob se surprit à dessiner des poissons multicolores sur sa bouteille d’oxygène. La fantaisie, cette chose qui débordait des conventions comme un poulpe hors d’une bassine, venait d’entrer par effraction dans sa vie. Noah avait la joie de vivre contagieuse.
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