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Critique de Hedrankopaline


Family affair.


Pour l'anecdote, j'ai lu Ma douce Audrina il y a de cela peut-être deux ans et depuis j'ai enchaîné 6 bouquins portant le nom de l'auteure. Mais aucun n'était d'elle. Moi qui aimais son style, quelle ironie ! A chaque fois que je choisis un roman dans la pile en attente que mes parents m'ont dégotté sur un vide-grenier, ce n'est jamais Virginia C. Andrews qui tient la plume. Pour le moment, bonne pioche, je n'ai pas encore été mortellement déçue et les romans de ses ghosts writers sont de bonne facture.

Comme toujours dans ces histoires, rien n'est simple. Mais plutôt prévisible. C'est très Soap Opera. Les noirs secrets sous le soleil de Floride. le clinquant de la richesse là où, plus qu'ailleurs, tout ce qui brille n'est pas d'or. Un peu longuet, on plante le décor. On sait d'ors et déjà que Willow, notre héroïne éponyme, ne fera pas de beaux rêves dans ses draps de belle soie. J'attends de voir la suite, puisque c'est une saga, si les clichés se dissolvent, si les personnages se développent. J'ai une petite préférence pour Linden, artiste torturé s'il en est et qui côtoie l'abîme, perclus de plaies à l'âme.


Rendez-vous dans le tome 2.
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